Radio France ayant décidé de mettre fin à son contrat avec TDF, l'émetteur d'Allouis a cessé la diffusion de France Inter grandes ondes le 31 décembre 2016[53]. Le 1er avril 2001, le symbole de la maison de la radio est de retour et prend du relief. Les autres émetteurs ont été coupés lors de l'arrêt de l'ORTF. Le 8 décembre 1963 la station devient France Inter, à la suite du concours « Baptême RTF 64 ». Ce développement est permis par la transformation de la RDF en Radiodiffusion télévision française (RTF) par le décret du 9 février 1949, en établissement public doté d'un budget autonome et qui bénéficie d'une redevance doublée sur les postes de radio. La couverture était identique à celle du 162. - France Inter, un vivier d'animateurs - Autre facette de l'information, l'investigation sera renforcée avec l'arrivée sur France 3 au printemps en deuxième partie de soirée d'"Affaires sensibles", l'une des émissions phare de France Inter, et de son présentateur Fabrice Drouelle. France Inter: il y a censure ou il n’y a pas censure? Entre 19?? L'organisation s'appuie sur sept services[1] : France Inter bénéficie en outre de l’aide de la cellule investigation de Radio France, dirigée par Jacques Monin (avec Laetitia Cherel, Benoît Collombat, Abdelhak El Idrissi Élodie Guéguen, Laetitia Cherel, Sylvain Tronchet et Philippe Reltien)[3], du service des sports dirigé par Vincent Rodriguez, des journalistes des autres rédactions de Radio France (France Info, France Culture et les 44 radios locales de France Bleu), des bureaux en région (Lyon, Marseille et Toulouse) et de la rédaction internationale, dirigée par Jean-Marc Four et composée des services diplomatiques des différentes rédactions de Radio France et des envoyés spéciaux permanents à l'étranger : Cyril Sauvageot[4] (Berlin), Omar Ouahmane[4] (Beyrouth), Quentin Dickinson[5] (Bruxelles), Étienne Monin (Jérusalem), Antoine Giniaux (Londres), Marc Crépin[6] (Moscou), Dominique André (Pékin), Mathilde Imberty[7] (Rome) et Grégory Philipps (Washington). La dernière modification de cette page a été faite le 2 octobre 2019 à 00:49. En 1967, son nouveau logo prend les couleurs de l'époque. Le siège de France Inter est situé à la Maison de Radio France. En août, 54 journalistes de l'ORTF, dont 23 de la rédaction radio, sont écartés. Selon une étude Marianne-Ifop publié en 2012, l'auditorat de France Inter se situe dans une très large proportion à gauche de l'échiquier politique (72 %)[35]. Le journaliste qui officie également sur France Inter a assuré avoir "d'autres envies, d'autres projets". Elle est dirigée depuis Janvier 2018 par Catherine Nayl secondée par Philippe Lefébure et Rémi Sulmont. Il est suivi des journalistes Marion Lagardère et Hélène Jouan, l'adjoint de la directrice Laurence Bloch Emmanuel Perreau et du directeur des antennes de Radio France Frédéric Schlesinger. La directrice de France Inter est, depuis mai 2014, Laurence Bloch qui succède à Philippe Val en poste depuis 2009. Il nous a quittés il y a quelques années. Lorsque l'actualité le nécessite, France Inter a recours à une programmation événementielle, laquelle n'est plus soumise à la grille. La rédaction en chef est assurée par Anaïs Feuga, Estelle Schmidt, Mickaël Thebault, Lionel Thompson, Régis Lachaud, Stéphane Leneuf et Serge Martin. Bloch en profite pour remanier certaines émissions : Nicolas Demorand quitte les horaires 18 h-20 h (remplacé par Fabienne Sintes[12]) pour la matinale et les programmes de Fabienne Chauvière (Les Savanturières), d'André Manoukian (Les Routes de la musique) et de Brigitte Patient (Regardez voir) sont supprimés pour laisser plus de place à la culture[13]. France III-National devient RTF Promotion spécialisée dans les émissions culturelles. », Pour le journaliste David Garcia, auteur d'une enquête sur France Inter, cette dernière « est largement à l’abri du brassage des idées et des opinions contradictoires [...]. Le rapport critique notamment les sureffectifs de techniciens à France Inter en comparaison des autres radios[9]. L'animateur Nagui justifie le refus de la chaîne ainsi : « Il n'y a pas de censure sur France Inter. S. C. avec Benoît Daragon et Michaël Zoltobroda, La Lettre Pro de la Radio & des Médias - La Puissance du Média Radio, service de liaison interministériel pour l’information, Observatoire national des cultures taurines, Office de radiodiffusion télévision française, départements et collectivités d'outre-mer, Les incroyables avantages des salariés de Radio France, Les journalistes de France Inter expriment leur colère contre Philippe Val, Jean-Luc Hees annonce le retrait de Stéphane Guillon de l'antenne de France Inter, « Daniel Mermet va voir ailleurs s’il y est ». Dans une déclaration adressée à l'AFP et citée par Le Figaro, Nicolas Demorand annonce qu'il cessera d'animer la matinale de France Inter à la rentrée prochaine. Le 23 juin 2010, Jean-Luc Hees déclare au journal Le Monde à propos de Stéphane Guillon, Didier Porte et François Morel : « Je considère que cette tranche d'humour est un échec. Ce canal est également utilisé pour la transmission d'un signal horaire en modulation de phase, émis en continu depuis l'émetteur d'Allouis au moyen d'une horloge atomique. Le 25 août 2014, France Inter se dote d'un nouvel habillage sonore accompagnant désormais la nouvelle grille de programmes de celle-ci, qui a pour vocation à faire remonter les audiences de la radio en chute libre depuis quelque temps[8]. Les divers directeurs qui se sont succédé à sa tête ont parfois arrêté des émissions aimées des auditeurs. Le 26 juin, le personnel de l'ORTF reprend le travail. Présentation de la rédaction en avril 2019. Entre-temps, pour éviter que la France ne perde sa fréquence Grandes ondes de 164 kHz, celle-ci est utilisée par l'émetteur alsacien de Sélestat avec une puissance de 20 kW pour relayer Paris-Inter en Alsace et dans la vallée du Rhin[2]. Le démarrage de Radio France n'est toutefois effectif que le 6 janvier 1975 à minuit et France Inter se dote d'un nouvel habillage. Après la nomination du nouveau directeur par Nicolas Sarkozy en 2010, Renaud Dély, directeur de la rédaction par intérim, tient à préciser que France Inter n'est « ni Radio Sarko ni Radio socialo ou Radio Besancenot »[34]. Les cookies nous aident à fournir nos services. Pourfendeurs du populisme, brun comme Le Pen, rouge comme Mélenchon, ils se rêvent en chevaliers de l’ordre libéral, horizon indépassable de la démocratie[33]. Olivier Bénis @OlivierBenis France. De la complaisance des médias… avec eux-mêmes! Le 18 avril 2019, pour la première fois depuis trente ans, les chiffres annoncés par Médiamétrie placent France Inter en tant que radio numéro un en France sur la période janvier-mars 2019[60],[61]. Il a demandé le licenciement de l’humoriste de France Inter. Biography. Et non, ce n'est pas parce que je ne vote pas Macron que je soutiens le Front national ». Voir le profil de Quentin Margot sur LinkedIn, le plus grand réseau professionnel mondial. La liste de ses auteurs peut être visible dans ses historiques et/ou la page Edithistory:Liste des animateurs et journalistes de France Inter. Nagui Fam (born 14 November 1961) is an Egyptian-born French TV and radio personality of Egyptian and Italian descent. En tant que radio nationale publique, l'autorité de régulation lui a attribué la première fréquence de la bande FM à Paris, le 87,8 MHz. Créez un compte ou connectez vous pour participer, améliorer ou créer un article, une biographie (la vôtre ? La radio précise le déroulé des faits », France Inter et vous : le désamour ? L'émetteur ne sera remis en fonctionnement qu'en 1952. Le présentateur demande son renvoi de la radio après un tweet partagé dans le weekend… ». Quentin a 9 postes sur son profil. » Au contraire, seuls 11 % de ses auditeurs appartiennent aux « CSP- », soit les catégories sociales défavorisées[33]. Il permet aussi de télécharger quasiment toutes les émissions en podcasting, ou de les réécouter directement depuis le lecteur intégré. France Inter propose tous les jours de 5h jusqu'à minuit des émissions en direct selon sa grille des programmes, et des rediffusions la nuit[50]. France Inter était diffusée entre 1938 et le 31 décembre 2016 en grandes ondes sur 162 kHz (1 852 m) depuis l'émetteur d'Allouis avec 2 MWh (2000 kWh). Elle a montré une grande misère intellectuelle dont je ne m'accommode pas. Inter-Variétés était diffusé entre 1963 et 1974 en ondes moyennes via le réseau TDF B et une partie du A. Début 2017, Patrick Cohen, animateur principal du 7/9, matinale la plus écoutée de France[11], annonce son départ de la chaîne pour Europe 1 à la saison suivante. Ancien logo de janvier 2001 à septembre 2005. En 2014, Laurence Bloch, la nouvelle directrice de la station, annonce l’arrêt de l’émission de Daniel Mermet, « Là-bas si j’y suis », une émission de reportages « fortement ancrée à gauche » selon Les Inrocks, qu'il présentait depuis 1989[38]. France IV-Haute Fidélité devient RTF Haute Fidélité spécialisée dans la musique classique et contemporaine[4]. Ainsi : Le 17 juin 2010, les journalistes de France Inter votent à la majorité une motion contre Philippe Val, le nouveau directeur de la chaîne. Après 10 ans passés dans des locaux provisoires situés avenue du Général-Mangin, France Inter réintègre la maison de la Radio le 21 mai 2014. Le présentateur de “L’heure des pros”, dont les auditeurs connaissent trop bien les coups de sang, ne souhaite plus entendre Guillaume Meurice à l’antenne de France Inter. Ce concours est lancé auprès des auditeurs à l’occasion de l’ouverture de la Maison de la Radio inaugurée le 14 décembre[6]. Roland Dhordain, qui avait quitté la radio, revient et reprend son poste de directeur. Erreur Lua dans Module:Catégorisation_badges à la ligne 170 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value). La dernière modification de cette page a été faite le 21 décembre 2020 à 19:48. 2008 4 ans 10 mois. wiki "Liste des animateurs et journalistes de France Inter" est issu de Wikipedia, Edithistory:Liste des animateurs et journalistes de France Inter, https://everybodywiki.com/index.php?title=Liste_des_animateurs_et_journalistes_de_France_Inter&oldid=251690, Crédit d'auteurs vers une page inexistante, Reportages : Philippe Randé (chef), Béatrice Duguet (adjointe), Mathilde Dehimi, Delphine Evenou, Yann Gallic, Thibault Lefèvre, Julie Pietri et Sébastien Sabiron, Économie-Social : Fabien Cazeaux (chef), Laurent Kramer (adjoint), Sonia Bourhan, Claire Chaudière, Maxime Debs, Hélène Fily, Philippe Lefebvre, Manuel Ruffez et Delphine Simon, Police-Justice : Jean-Philippe Deniau (chef), Corinne Audouin (adjointe), Sara Ghibaudo, Emmanuel Leclère Sophie Parmentier et Charlotte Piret, Société : Danielle Messager (cheffe), Hélène Chevallier (adjointe), Sophie Bécherel, Sandy Dauphin, Nathalie Fontrel, Véronique Julia, Culture : Corinne Pélissier (cheffe), Jacqueline Pétroz (adjointe), Alexandra Ackoun, Eva Bettan, Stéphane Capron, Matthieu Culleron, Ilana Moryoussef, Isabel Pasquier, Rédaction numérique : Stéphane Jourdain (rédacteur en chef), Valeria Emanuele (cheffe de service), Olivier Bénis (adjoint), Julien Baldacchino, Marion Bernard, Valérie Cantié, Lorélie Carrive, Ouafia Kheniche, Christine Simeone, Jean Amadou (1973-1990), chansonnier, animateur du, Jean Claude Ameisen, chroniqueur scientifique, animateur-producteur de, Frédéric Beigbeder (2016-2018), animateur et chroniqueur, Patrice Blanc-Francard (1970-1981), animateur, producteur, Jean-Claude Bourret (1967-1972), journaliste, Pierre Bouteiller (1969-1981, puis 1982-1999), journaliste, animateur, directeur, Noëlle Bréham (depuis 1983), journaliste, animatrice, Clara Candiani (1947-1981), journaliste, productrice de, Antoine de Caunes (depuis 2017), animateur, Jacques Chancel (1968-1990), journaliste, producteur, Denis Cheissoux, journaliste, producteur, animateur de, Pascale Clark (1995-2016, avec des interruptions), journaliste, animatrice, Patrick Cohen (2007-2008 / 2010-2017), journaliste, Philippe Collin et Xavier Mauduit (depuis 2005), chroniqueurs et animateurs, Gérard Courchelle (1982-2014), journaliste, Alain Decaux et André Castelot, producteurs de, Nicolas Demorand (2006-2010, puis depuis 2014), journaliste, Jean-Pierre Elkabbach (1974-1977), journaliste, François Foucart (1970-2000), journaliste, chroniqueur judiciaire et informateur religieux, Guillaume Gallienne (2009-2020), narrateur dans son émission, Jean Garretto et Pierre Codou, producteurs, Josée Gorce (1967-1995), productrice de l'émission le jeu des mille euros, Lucien Jeunesse (1965-1995), animateur du, Hélène Jouan (1999-2017), successivement chef du service politique, directrice de la rédaction, directrice des magazines d'information, animatrice des soirées électorales, puis animatrice du, Gérard Klein (1965-1968, puis 1980-1982), animateur, Roger Lanzac (jusqu'en 1965), présentateur du, Ivan Levaï (depuis 1963 jusqu'en 2014, avec plusieurs départs et retours), journaliste, Daniel Mermet (1977-2014), journaliste et producteur, notamment de, Stéphane Paoli (1999-2016), journaliste, rédacteur en chef et producteur des matinales, Patrick Poivre d'Arvor (1971-1974), journaliste, Jacques Pradel (1976-1986), journaliste, animateur, Laurent Ruquier (1991-1999), producteur et présentateur de, Saint-Granier, chroniqueur jusque dans les années 1960, Charline Vanhoenacker, journaliste, animatrice (depuis 2012), Jacques Vendroux, journaliste sportif (depuis 1969), Claude Villers (1971-2004), animateur, entré comme assistant de José Arthur, Hélène Roussel, journaliste et chroniqueuse, Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé «. 20. Les cadres et professions intellectuelles supérieures représentent la très grande majorité du temps d’antenne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En septembre 1947, un sondage réalisé par le journal Radio Programme crédite la station de 6 % d'audience, alors qu'elle n'émet encore que sur la seule région parisienne[1]. France Inter est une station de radio généraliste nationale publique française du groupe Radio France. Il sera ainsi animateur en 1986 à Radio France … En réponse, l'intersyndicale de France Inter organise « l'Opération Jéricho » : chaque jour des journalistes, ouvriers, lycéens, gens du spectacle, auditeurs marchent pendant une heure autour de la Maison de la Radio. Il perd le symbole de la maison de la radio en 1985, mais conserve le point rouge. Paris-Inter diffuse de 6 h 30 à minuit un programme essentiellement musical, composé de sessions de disques, des émissions réalisées par le Club d'Essai et de programmes de stations étrangères. Le Prix de la BD Fnac est créé en 2013. En 2019, Pascal Praud, dénonce « le politiquement correct poussé à l'extrême » de la radio, son absence de pluralisme et de neutralité. L'humoriste, s'estimant victime de censure, démissionne de France Inter[28],[29]. Elle est dirigée depuis Janvier 2018 par Catherine Nayl secondée par Angélique Bouin, avec Danielle Messager et Marie-Christine Le Dû au secrétariat général[49]. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); La pertinence de cette section est remise en cause. France Inter est aussi disponible sur la plupart des postes et agrégateurs de radio Internet en streaming. Rebaptisée Le Billet de..., elle est déplacée à 8 h 55, au sein du 7/9 de Patrick Cohen. Ancien logo du 20 décembre 1967 à janvier 1975. Cette décision suscite les critiques de courants variés, de Politis, où Denis Sieffert déplore le « pluralisme menacé » par la disparition d'un « espace de liberté dans un monde contrôlé par l'idéologie libérale »[24], jusqu'à Boulevard Voltaire, où Dominique Jamet regrette « qu'une radio de service public [...] payée par tous les contribuables [...] soit constamment et délibérément la négation même du pluralisme sans lequel il n’est pas de démocratie »[25]. Depuis plus de trente ans, la matinale de France Inter réserve son éditorial économique aux idées néolibérales.