Données Personnelles | Et comme disait je ne sais plus qui : "Le moins bon film d'Hitchcock sera toujours bien meilleur que le meilleur des films de beaucoup d'autres réalisateurs", et ça marche tout à fait ici. La renaissance de Guillermo Del Toro Après deux ans d’absence remarquée, Guillermo Del Toro est de retour avec La Forme de l’Eau, ces dernières années n’ayant pas été de tout repos pour cet auteur-réalisateur. une galerie politiquement correct de ce que tout ce que l'Amérique compte de minorités opprimées. Je suis presque désolé de mettre une note aussi basse… Mais bon, mon souci d’honnêteté m’oblige à accorder ma note à mon sentiment. La forme de l'eau critique la presse Retrouvez les 1030 critiques et avis pour le film La Forme de l'eau - The Shape of Water , réalisé par Guillermo del Toro avec Sally Hawkins, Michael Shannon, Richard Jenkins «La Forme de l'eau» : un époustouflant conte fantastique Avec son dernier film, Guillermo del Toro nous livre une romance passionnelle et poétique, qui séduit tant sur la … Avec un Lion d'Or et deux Golden Globes au palmarès, La Forme de l'eau est annoncé comme l'un des grands prétendants aux Oscars. la merveilleuse histoire d'amour ? Enfin, il y a manifestement une erreur au générique qui crédite Guillermo del Torro alors qu'il est aveuglant que le réalisateur est Jean-Pierre Jeunet. Del Toro ose filmer les corps nus, ose être sale, puant, suintant et ça fait du bien dans le cinéma hollywoodien, mais toute... OK, son pote est seul parce qu’il est gay et qu’à cette époque ce n’est vraiment pas facile à vivre. Je ne suis pas un grand fan de Del Toro mais je pensais vraiment que j'allais aimer ce film, sans doute parce qu'il se revendiquait de l'influence de L'étrange créature du lac noir, classique que j'apprécie, en plus on voit assez vite qu'il ose des trucs comme montrer la nudité, la violence brute et les effusions de sang, donc quelque peu en décalage avec les standards hollywoodiens. AUCUN des cinémas que je fréquente ne le passera, tout comme La Fleur de la Sorcière. Quand le générique de fin de La forme de l’eau apparaît à l’écran, deux sentiments dominent l’esprit du spectateur. Il est pas frais mon poisson ? Difficile de trouver un véritable équilibre avec toutes ces variations, mais on a bien à faire à un beau film. Un personnage dont on ne comprend pas le traumatisme originel et l'étonnante attirance pour l'eau - dans laquelle elle se livre chaque matin à des libations étonnamment lestes pour un film tout public. L'histoire est un peu prévisible, mais l'acteur, metteur en scène, et l'aspect visuel ont tous été ÉTONNANT. L’amour des monstres de Mr. del Toro sert son film comme jamais. "La Forme de l'Eau" ("The Shape of Water") marque le retour très remarqué de Guillermo Del Toro avec ce long métrage qui fait énormément parler de lui. 75 abonnés Et là, s’est mis alors à commencer pour moi un trèèèès long tunnel d’ennui. Dans la salle se trouvait Alfonso Cuaron, Tilda Swinton, Marisa... Alors oui la poésie est toujours à fleur de peau, mais elle semble tellement édulcorée, fade et gratuite que l’ensemble manque franchement d’une vraie personnalité, ce que le dernier « Crimson Peak » du même cinéaste, possédait et revendiquait justement à fond ! Entre la réalisation de son blockbuster Pacific Rim, l’écriture du Hobbit et le bide de Crimson Peak, c’est une décennie mitigée. Freak d’eau. La Forme de l'eau critique par M R - Surréaliste des années 1960 de l'ensemble de drame romantique. Oscar du meilleur film ! Simon McQuoid, avec L'histoire s'intéresse à Elisa (Sally Hawkins). Dans La Forme de l’Eau, une concierge muette interprétée par Sally Hawkins, tombe amoureuse d’une créature gardée prisonnière dans un laboratoire d'Etat. Tweet. C'est bien ce paramètre qui marque la signature du cinéaste mexicain et ce pourquoi je l’apprécie tant. Les premières minutes du film donnent le ton : couleurs aux tons sépia, univers rétro fantastico-nostlagico-poétique qui nous ramène au cinéma de Terry Gilliam mais aussi à celui de Caro et surtout Jeunet. Lire ses 1 454 critiques, Suivre son activité Après Crimson Peak, le cinéaste mexicain Guillermo Del Toro nous revient à travers le cinéma fantastique avec La forme de l’eau.Un retour à un certain cinéma européen, après les immenses Labyrinthe de Pan et L’échine du Diable tourné en Espagne et produit par Almodóvar. Film de Guillermo del Toro avec Sally Hawkins, Michael Shannon, Doug Jones : toutes les infos essentielles, la critique Télérama, la bande annonce, ... La forme de l'eau. Autant "Le Labyrinthe de Pan" était une merveille, autant Del Torro nous livre ici le plus lissé et le plus académatique de ses films. Car c’est bien un conte que Guillermo del Toro décide de nous présenter. De "La belle et la bête", à "ET", de l'univers de Jeunet pour les décors, les thèmes récurrents de la tolérance et la peur de l'inconnu, on assiste à une succession de clichés, un scénario cousu de fils blancs en cherchant tout au long de ces deux heures, d'ailleurs pas désagréables en soi, ce qui suscite cette envie de récompenses dans tous les pays. Politique de cookies | OK, la teinte très 60’s donne un côté très classique à l’ensemble, mais cette manière d’amorcer l’intrigue fantastique au travers du regard d’une femme de ménage qui travaille au sein d’un centre aérospatial, j’ai trouvé ça plutôt malin et plein de promesses. Pourquoi pas après tout ? Prêt à boire, le saké est fait d’au moins 80 % d’eau. Du côté des très bonnes choses, Sally Hawkins est le choix parfait pour incarner cette femme de ménage muette grâce à son côté vieille fille et son physique banal. quelle triste année alors ! Les Américains sont des brutes épaisses, surtout ceux pour qui le maître mot est sécurité. Pas crédible . https://www.allocine.fr/film/fichefilm-246009/critiques/spectateurs D’un certain point de vue, j’ai l’impression que l’ami Guillermo a concentré tout son intérêt dans les petits détails militants qu’il a voulu glisser à droite et à gauche : de l’antiracisme à l’antispécisme ; du féminisme au gay-friendlysme. Preuve en est, La forme de l’eau est aussi reparti avec le Lion d’Or à la Mostra de … Dans l’œuvre prolifique de Guillermo del Toro, "La Forme de l'Eau" apparaît comme une fable, très prévisible et aux accents poétiques. Une jolie fable pleine de qualités mais qui prend moins de risques qu'on ne l'aurait crû. et même si la fin semblait sauver les meubles elle se refuse à la tragédie et là ça m'énerve, encore plus ratée que celle de La La Land, Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateurs, Les meilleurs films de tous les temps selon la presse, Derision et devotion dans la tradition dramatique, Mortal Kombat Bande-annonce non censurée VF, Detective Conan: The Scarlet Bullet Teaser VO. On ne peut pas s’identifier. Mais La forme de l’eau est aussi et avant tout un magnifique pied de nez aux univers enfantins que peuvent prendre les adaptations de Disney, ici l’amour se fait brutal voir…charnel. Certes, Del Torro sait faire de belles images, mais ici, le film rate totalement son propos. S'il ne put mettre en place son remake de L'Étrange Créature du Lac Noir, Guillermo Del Toro garda en tête son envie de raconter un amour naissant entre un être amphibien (très inspiré du design de Gill-Man) et un être humain, désir qu'il satisfit avec La Forme de l'Eau, sûrement son oeuvre la plus acclamée depuis Le Labyrinthe de Pan. Je n'ai vu dans le conte de fées de Guillermo del Toro à la naïveté assumée qu'une historiette simpliste aux personnages manichéens et à l'intrigue cousue de fil blanc. Prétentieux. Pas assez de sexe dans ce twilight zoophile. Préférences cookies | Qu’il puisse être nommé aux oscars ... au secours ! Le lendemain encore j’ai personnellement - et la personne qui m’accompagnait également - HONTE d’avoir vu un tel film. LA CRITIQUE DE LA FORME DE L’EAU Résumé : Modeste employée d’un laboratoire gouvernemental ultra-secret, Elisa mène une existence morne et solitaire, d’autant plus isolée qu’elle est muette. La forme de l’eau, c’est la rencontre de personnes différentes qui aboutit à un spectacle plein d’amour et de bienveillance. Lire ses 46 critiques, Suivre son activité Accueil. Différents univers cinématographiques se mêlent grossièrement, servant une sorte de bouillabaisse romantique, saupoudrée à La Javanaise version Madeleine Peyroux. Le ridicule est presque atteint lorsque le film s'essaie à la comédie musicale. De Les Russes sont un peu plus folklos avec LE chercheur au grand coeur. ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34€/minute). Creux. C’est un des films les plus médiocres, fade et mal traités que j’ai vus ces 3 dernières années, vraiment . Lire l'avis à propos de La Forme de l'eau. Somnolences, distractions, égarements dans mes pensées, récapitulatifs des courses que j’avais à faire après la séance : tout y est passé… Et si d’un côté je maintiens le fait que ce film n’est certainement pas hideux à voir, d’un autre côté je ne peux nier que l’égrènement des minutes fut pour moi de plus en plus rude tellement je n’ai pu me raccrocher à rien. Vous aimerez peut-être "Le grand triton" de Guillermo del Toro [je viens de passer deux heures à chercher l'équivalent masculin de la sirène et ne me cherchez pas des poux dans la tête si le triton ne correspond pas tout à fait]. Je pourrais vous dire que son action se déroule au début des années soixante, en pleine Guerre froide, à Baltimore, que son héroïne est une jeune femme muette employée comme femme de ménage dans une base secrète de l'armée américaine, qu'une créature aquatique, mi-poisson, mi-homme, y a été capturée et y est soumise aux pires sévices par un gardien sadique, que notre héroïne se prend de compassion pour la mystérieuse créature et décide de la libérer avec l'aide d'une collègue noire, d'un voisin homosexuel et d'un espion russe. La Forme de l'eau est sans doute le film du metteur en scène qui parle le plus directement de cinéma (et peut-être plus largement d'image). Un film d’une bêtise et prétention sans borne servis dans un cadre brouillon, pas malin et indigent ! Critiques et fiches films. Jean-Pierre Jeunet n’a pas eu tort de s’en émouvoir : les parentés... Je plaide coupable par avance car "La Forme de l'eau" est le grand favori des Oscars - et que je n'aurais rien à redire à sa victoire annoncée sur les autres films nommés, tels "Get Out", Phantom Thread"" ou "3 Billboards" qui ne m'ont guère plus convaincu. Quand je dis ça se bagarre c'est entre Dr Folamour et films d'espionnage années 50. Donc Amélie Poulain est descendue de la butte Montmartre, elle fait le ménage dans un labo où elle a une bonne copine et là elle tombe amoureuse d'un monstre marin autour duquel ça se bagarre sec entre militaires et scientifiques. Voici ce que j'appelle un film très surestimé. » mais avec une créature du « Festin nu » en guise de bestiole à sauver. Une voix douce s’élève. A la fin on est soulagés que ça soit fini. Je le trouve vraiment très prétentieux et creux. CGU | Tout semble bien parti avec une recherche esthétique néo rétro aux accents très fifties, dont les éclairages et les décors sont parfaitement au diapason... 556 abonnés Découvrez la critique du film La Forme de l'eau de Guillermo del Toro - Lauréat du Lion d'Or à Venise, puis oscarisé, La Forme de l'eau est le triomphe de … Le montage est précis, et Michel Shannon joue avec brio le véritable monstre du récit. Pour le reste, rien de très excitant… Le travail sur l'image s'avère banal, d'un vert bleuté sur employé ces dernières années. Un conteur. Critique de La Forme de l'eau par Ben Ric, Lire l'avis à propos de La Forme de l'eau. Je pourrais - comme je m'évertue à le faire chaque matin - faire un effort et vous présenter un résumé autrement plus élaboré de "La Forme de l'eau". Elle est son principal ingrédient, elle en influence indéniablement le goût. Verdict d’après-séance dans cette nouvelle critique sur MediaShow. A retenir également la musique magnifique de Desplat. Revue de presse | Si les notes de nos chers éclaireurs tombent, plus dithyrambiques les unes que les autres (c'est pour... 2017. Lire l'avis à propos de La Forme de l'eau, Je suis vraiment déçu par ce film, j'adore ce que peu faire Del Toro, mais c'est sans doute celui que j'aime le moins avec Blade II. La Forme de l'eau - The Shape of Water Qualité HDRip | TRUEFRENCH Origine : Américain Réalisation : Guillermo del Toro Durée : 2h 03min Acteur(s) : Sally Hawkins,Michael Shannon,Richard Jenkins Très bien. Le scénario est donc plutôt quelconque, et malheureusement visuellement ça n'a quasiment aucun intérêt. Pas très original, donc, si ce n'est l'univers visuel et la poésie dure propre au réalisateur mexicain qui met toute sa personnalité dans ces œuvres les moins commerciales. Lire ses 3 132 critiques, Suivre son activité Film très fade, affadi encore si c'était possible par une production hollywoodienne terne. Ah il est loin le réalisateur qui pouvait sans rougir assumer la comparaison avec Tim Burton avec « le labyrinthe de Pan » ou « Crimson Peak » ! Benjamin Lavernhe, Sara Giraudeau, Kyan Khojandi, Avec De plus visuellement c'est abouti, je reconnais cette sensibilité d'esthète de Del Toro, cohérent avec son univers à la fois poisseux et féérique, seulement il m'a manqué quelque chose de taille : l'émotion, comme l'impression que tout est bien trop artificiel, la relation entre Eliza et le monstre ne m'a absolument pas touché, quand bien même elle soit symbolique, pourquoi être autant prémâchée ? Si cette attente peut être envisagée de manière toute enfantine comme l'arrivée de la matinée de Noël, la frustration peut aussi s'inviter, surtout en sachant que le film, déjà sorti, est inaccessible sur grand écran. C'est l’histoire d'un homme-poisson que des méchants ont emprisonné et que des gentils veulent libérer. En effet il manque cette touche de sensibilité, cet aspect d'émotion que j'attendais d'une histoire d'amour forte et improbable.... Mais.... Cela ne vient jamais malgré les nombreuses tentatives de Del Toro, et c'est bien dommage. Mais pas à un public qui aura déjà vu plein de films d'amitié humain-monstre et qui ne s'attend pas à ce qu'on lui présente une resucée de films bien meilleurs. Ceux qui ont exploré l'oeuvre de Guillermo del Toro ont compris la fascination du cinéaste pour la monstruosité. Un peu plus de 2 ans après Crimson Peak, Guillermo Del Toro est de retour avec La Forme de l'Eau, une nouvelle réalisation aux accents fantastiques (on ne se refait pas) dont il signe également le scénario. 10 abonnés Le Labyrinthe de Pan aurait par exemple (c’est mon avis) davantage mérité de se voir offrir l’Oscar du meilleur film. Par contre, 4 séances par jour pour "Les Tuches 3" ! La Forme de l'eau est un film d' aventure de 2017 , d'une durée de 123 minutes réalisé par Guillermo del Toro . Il s'agit donc avant tout d'une fable saupoudrée de la vision ambivalente de son réalisateur, qui parvient toujours à faire émerger une violence froide et clinique au sein d’œuvres fantastiques et poétiques. On attend donc la suite de pied ferme, et on attend encore ! OK, l’héroïne est muette mais ça n’en reste pas moins une héroïne ; OK elle aime prendre le temps de se masturber tous les matins et on nous le rappelle bien histoire où on l’oublierait. On préfère remplir les caisses... Qu'elle aille se faire foutre, l'exception culturelle française !!! Lire ses 534 critiques, Suivre son activité Mais on reste sur notre faim, il règne un sentiment d'incomplet et parfois de semi-fadeur (impression confirmée par les partitions d'Alexandre Desplats, comme d'habitude pas mauvaises mais plates). Modeste employée d’un laboratoire gouvernemental ultrasecret, Elisa mène une existence solitaire, d’autant plus isolée qu’elle est muette. Les dialogues ne sont pas très réussis. Et surtout, aucune émotion ne passe dans un scénario ultra lisse. On finit par se moquer de ce qui peut leur arriver. Lire l'avis à propos de La Forme de l'eau, Ouverture. Le 9 juin 2020. Alors ce n'est pas mauvais, il y a plein de bonnes choses dans le film, comme le fait que ça ne soit pas un film sans âme et générique. Critique La Forme de l’eau, réalisé par Guillermo Del Toro, distribué par Twentieth Century Fox et sorti au cinéma le 21 février 2017. Critique : La Forme de l’eau. Lire ses 508 critiques, Suivre son activité Tout n'est que du déjà-vu : genre "la belle et la Bête", mais en 10 fois moins bien, façon gentil Monstre des marais, avec une leçon de morale bienpensante : "rejeter les autres, c'est pas beau". Le tout manque de liant, de souffle. Lire ses 1 033 critiques, Suivre son activité Les autres personnages ? 13 fois nommé aux Oscars 2018...Je ne comprends pas !!! Quoi mon poisson ? Ce qui est un comble pour un film qui voudrait mêler fantastique et histoire d'amour. Mais ce plébiscite critique et public ne m'empêchera pas de faire entendre une voix dissonante. Sally dort, bercée par les variations de l’eau. Alséni Bathily, Lyna Khoudri, Jamil McCraven, Avec etc..). Fishpond New Zealand, Doctrine, Histoire, Pratique Et R forme Financi re, Critique de la Science Des Finances (Sciences Sociales) by Emile WormsBuy . Lire ses 1 446 critiques, Suivre son activité La forme de l’eau [CRITIQUE] written by Julien 15 avril 2018 Elisa et Zelda sont femmes de ménage dans un laboratoire de recherche qui mène des expériences ultra-secrètes sur une créature aquatique extraordinaire ramenée d’Amazonie où elle était vénérée comme un dieu. Alors oui, j’ai voulu me raccrocher à cette idée que Guillermo del Toro faisait les choses avec adresse, mais pour le coup ce ne fut clairement pas suffisant. La Forme de l'eau est un bon film, inhabituel pour les studios hollywoodiens qui détestent l'originalité, mais aura probablement un air de déjà vu pour les cinéphiles français qui connaissent Jeunet et Dupontel. C’est d’autant plus dommage, car avec cet univers épatant si réussi et si flatteur à l’œil, il ne manquait pas grand chose pour faire de cette fable fantastique un vrai sujet digne d’intérêt et de plaisir, afin de s’y plonger complètement en rejoignant ainsi véritablement notre héroïne et son prince charmant comme on l’espérait ! : Malheureusement, là où cet élément permettait à ses précédents films d'atteindre une certaine profondeur et de s'ériger au rang d'oeuvre filmiques majeures, il agit là en temps que piqûre de rappel, nous tapotant l'épaule ça et là pour maintenir une certaine attention mais n'allant pas vraiment plus loin que l'expression de l'identité de son auteur. OK sa collègue noire doit à la fois subir les remarques racistes de son patron et l’attitude asservissante de son mari… Et après ? Le copier-coller de la créature du lagon noir sorti en 1954 - qui fut le premier film visionnable en trois dimensions grâce à des lunettes bicolores. La Forme de l’eau - Guillermo del Toro - critique. Critique de La Forme de l'eau (The Shape Of Water) de Guillermo del Toro, qui sort au cinéma ce mercredi 21 février. Privée de sa voix, elle est placée sur un pied d'égalité avec le monstre en étant désarmée et partage avec lui des scènes pour le moins impudiques (longtemps qu'on avait plus vu quelqu'un oser filmer des corps nus sans aucune gêne mais qui ne sombre pas dans l'insolence). « La Forme de l’eau », c’est aussi la 7e collaboration entre Guillermo del Toro et Doug Jones, après « Hellboy » (dans le rôle de Abe Sapien), « Le Labyrinthe de Pan » (dans le rôle du faune) ou encore « Crimson Peak » (dans le rôle de Lady Sharpe). Lire l'avis à propos de La Forme de l'eau, Ca fait des mois que Sens Critique nous fait baver devant cette magnifique affiche très énigmatique... alors voilà, ça y est, je l'ai vu le dernier Guillermo del Toro, j'étais allée fortuitement voir Le Labyrinthe de Pan et j'avais adoré. Un excellent drame fantastique poétique et visuellement éblouissant de Guillermo Del Toro avec une excellente performance de Sally Hawkins qui transmet à la fois délicatesse et force, des plans et des mouvements de caméra fantastiques, un scénario particulièrement intéressant puisqu’il met en scène un personnage principal muet, une photographie à tomber et une sublime BO d’Alexandre Desplat. Lire la critique de La Forme de l'eau, Déjà, pour se la péter un peu, car c'est aussi à ça que sert SC, petit point sur les conditions de visionnage de ce film. Porté par Sally Hawkins (Elisa), ce film permet un véritable retour aux sources pour le cinéaste mexicain qui n'a pas volé les quatre Oscars (film, réalisateur, musique, décors) reçus pour sa nouvelle production américaine. Dans les phases finales d’élaboration du saké, on ajoute même de l’eau … Le méchant sous les traits de Michael Shannon fait de l’effet au début, puis devient une caricature de lui-même, tout comme les rôles secondaires, qu’ils soient espions ou pas d’ailleurs... Bref, un film d'une très grande fadeur et plutôt bouffi de clichés (un monstre gentil, une handicapée émouvante, une noire femme de ménage, un blanc méchant, le racisme des années 60, etc. La Forme de l’eau est un beau film mais le réalisateur a fait mieux. Seulement voilà, une fois la créature rencontrée (c’est-à-dire au bout d’un quart d’heure donc), le film s’enfile alors très rapidement sur un rail et n’en déviera dès lors plus jamais. Et même cette créature mi homme mi poisson, pourtant intéressante par son aspect et son regard, manque de réelle présence pour véritablement nous émouvoir... 341 abonnés Découvert le 15 octobre 2017, lors du génialissime Festival Lumière de Lyon, La Forme de l'Eau nous a été présenté par Del Toro lui-même, ainsi qu'Alexandre Deplat qui visiblement était dans le coin aussi. A voir. La créature filmée "dans une diaprure bleu-vert" (dixit "Le Monde") ? Un longue ondulation sur un fond marin rocailleux s’échoue sur une chambre inondée. Tout est tellement prévisible, calibré, habituel ! De superbes effets spéciaux, scénario décent et joliment tourné des… Si le cinéma de ces deux derniers a toujours partagé les cinéphiles et la critique pour... Au mieux du sous-sous-sous Jean-Pierre Jeunet. Snif ! Poétique, le nouveau Guillermo del Toro n'atteint néanmoins pas la puissance dramatique du Labyrinthe de Pan, bien qu'il essaye d'en reexploiter les ficelles : l'alliance du fantastique et de l'horreur de la réalité politique et de ses sbires bien moins humains que les créatures de son cinéma. Il dépeint avec réussite une décennie colorée, divisée et son message du bon citoyen, en grande partie personnifié en Michael Shannon fidèle à lui-même. Mais, pourquoi me regardez vous comme cela ?? Une sublime ode à la différence, qui … Plein de bonnes idées et de bonnes intentions, le film n'émeut pourtant pas autant qu'il le voudrait, peut-être parce qu'il se montre trop sage dans son déroulement et que sa romance censée transcender les lois de la nature semble ironiquement un poil en retrait en comparaison aux thèmes évoqués par le réalisateur. Enfin récompensé par l'Oscar du Meilleur film , Guillermo Del Toro semble avoir convaincu tout le monde avec La Forme de l'Eau. *The Shape of Water* est donc un joli mode d'emploi de la cinématographie de Guillermo Del Toro, la raison sans doute de son triomphe aux oscars, mais ne constitue en aucun cas son chef d'oeuvre qui reste encore, selon moi, *Le Labyrinthe de Pan*. CRITIQUE, del toro, la forme de l'eau, monstre, shannon Poster un commentaire Navigation des articles " Critique: Moi, Tonya. 26 abonnés En effet, j'ai été surpris par la simplicité scénaristique du film qui reste tout de même magnifique audio-visuellement parlant. C'est donc cela le film de l'année ? Peut-être trop ? The Shape of Water : Creating a Fairy Tale... Golden Globes 2018 : le palmarès des films. Tout cela respire plus le conte pour enfant, par la façon simplifiée et assez mièvre de traiter les rapports humains, alors que le côté psychologique reste absent, chaque personnage étant beaucoup trop lisse et plat, trop dans l’apparence, figé comme une image d’Épinal. L'œuvre est également sortie sous forme de roman sous le même titre. », tout cela à la sauce « Amélie Poulain »... l'hymne à la tolérance ? Bon, avouons le tout de suite, j'ai été déçu par ce film, notamment au regard de tout ce que j'en avais entendu avant, c'est d'ailleurs peut-être là l'erreur! 14 abonnés La réponse est bien difficile à trouver au milieu de ce conte fantastique pétri de bons sentiments qui ne révolutionne pas grand chose, bourré de références pour ne pas dire qu'il pompe à droite et à gauche son inspiration. Critique de La Forme de l'eau (2017) par Matt M — 05 mars 2018. Bigre ! Lire ses 8 critiques, de Tellement académique et convenu que, oui, on conçoit que ça puisse plaire à un jury américain bien sage en manque de sentiments polissés. L’académie ne devait pas encore être prête en 2006 à offrir un tel prix à un film fantastique. L'héroïne muette ? ... Après "3 Billboards", voici encore un autre film que j'attendais impatiemment et qui n'est pas programmé dans mon ciné. Lire l'avis à propos de La Forme de l'eau, The shape of water : le titre de la dernière livraison du réalisateur qu’on se plait à qualifier de « visionnaire » est parfaitement éloquent, et trouve, dès sa séquence d’ouverture, sa ligne de conduite : son film est avant tout une forme : plastique, ambitieuse, poétique et ostentatoire. Les services AlloCiné | Bien sûr, et c'est là ou Guillermo Del Toro est fort, cette violence sert aussi le propos et nourrit l'enjeu dramatique en cassant le côté monodimensionnel de ses personnages. 6.5 /10 Créez un compte ou … « La Forme de l’eau » sous ses airs de conte fantastique alléchant, nous propose un mélange de la « Belle et la Bête », de « E.T. Car hélas, même si l’intrigue est bien là, même si l’ambiance est au rendez-vous, on espère un peu plus de punch, qui aurait pu casser cet aspect un peu niais et gentillet que trimbale chaque personnage, alors que la bande son fait tout pour aller dans ce sens très sirupeux, elle aussi. Du coup, à part un petit toilettage idéologique des films typés années 60, je ne vois pas vraiment l’intérêt. Le premier est la satisfaction : celle d’avoir vu Guillermo Del Toro développer pendant deux heures supplémentaires son univers si particulier, démontrant qu’il fait toujours volontiers montre, plusieurs années après ses débuts, de la même sensibilité de … 168 abonnés 433 abonnés Ce conte fantastique, inspiré de L’Etrange Créature du Lac Noir (1954), crée une poésie à travers l'entrelacement de deux corps que tout oppose. Joe Taslim, Josh Lawson, Contact | Proposant de belles fulgurances, il oscille toujours entre une douce poésie et une violence brutale. Sa vie bascule à jamais lorsqu’elle et sa collègue Zelda découvrent une expérience encore plus secrète que les autres… Des gentils très gentils, des méchants très méchants, ainsi que les péripéties habituelles… J’ai eu l’impression de revoir un copier-coller d’« E.T. L’amour des monstres de Mr. del Toro sert son film comme jamais. Je ne comprends pas que ce film ait autant d’étoiles critiques. 2094 abonnés Retrouvez nos critiques ciné sur le Tumblr : Be French ! 152 abonnés Mais ce serait bien long pour un scénario qui, tout bien considéré, se résume aisément en une phrase plus courte. Vladimir Orlowski. On sort TRÈS VITE du film du fait de ce manque d’empathie qu’on a pour les personnages. Prévisible car le scénario en lui-même est, dans sa globalité, sans surprise : un être différent de nous est torturé et étudié pour sa différence, et trouve des alliés eux aussi considérés comme différents et méprisés en tant que tels. Par les membres ayant fait le plus de critiques. Books online: Doctrine, Histoire, Pratique Et R forme Financi re, Critique de la Science Des Finances (Sciences Sociales), 2018, … Ex. Allez, passe à autre chose, Benicio ! Lire ses 1 080 critiques, Suivre son activité Sûrement que La forme de l'Eau fera son effet à Hollywood, mais avec le temps il intégrera la longue liste des films oubliables. Lire ses 2 184 critiques, Suivre son activité Cette critique de La Forme de l'eau (2017) a été rédigée par Matt M le 05 mars 2018. C’est dommage, le sujet de base aurait pu être intéressant mais la production, le casting laissent à désirer.
Rues De La Ville De Metz,
Club De Foot Le Havre,
Anatomie Dentaire Pdf,
Cake Pain Perdu Chocolat,
Le Gourmet D'asie Salouel,
Nba 2k21 Rétrocompatibilité Ps5,
Bus 92 Trafic,
Signes Annonciateurs Mort Imminente,